La délicate partition d'Israël dans le conflit syrien
"La relative discrétion adoptée par les responsables israéliens a, dans un premier temps, permis à Bachar el-Assad de ne pas répondre à ces raids, sans pour autant perdre la face. Menacé sur de multiples fronts par les factions rebelles, celui-ci n'avait après tout guère intérêt à engager une épreuve de force avec l'État hébreu. Entre avril 2013 et février 2014, les frappes se sont ainsi multipliées autour de Damas et de Lattaquié, ainsi que sur le sol libanais, sans susciter de riposte. Mais elles ont fini par irriter le régime syrien et ses alliés chiites du Hezbollah, qui accusent désormais Israël d'avoir ainsi pris fait et cause pour la rébellion sunnite.
"La relative discrétion adoptée par les responsables israéliens a, dans un premier temps, permis à Bachar el-Assad de ne pas répondre à ces raids, sans pour autant perdre la face. Menacé sur de multiples fronts par les factions rebelles, celui-ci n'avait après tout guère intérêt à engager une épreuve de force avec l'État hébreu. Entre avril 2013 et février 2014, les frappes se sont ainsi multipliées autour de Damas et de Lattaquié, ainsi que sur le sol libanais, sans susciter de riposte. Mais elles ont fini par irriter le régime syrien et ses alliés chiites du Hezbollah, qui accusent désormais Israël d'avoir ainsi pris fait et cause pour la rébellion sunnite.
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